Au sein d’un monde souffrant notamment de la destruction de la biodiversité, mais aussi du fait de la menace liée aux dégradations causées par des humains, comment ne pas envisager les errances existentielles au regard de ces douleurs « écologiques » ? Parties prenantes du mal-être, de la maladie, elles deviennent parties prenantes de l’accompagnement vers la guérison.
L’auteur, Michel Maxime Egger, pointe le dualisme homme femme. Pour lui, les dégâts causés à la planète sont liés à l’oppression faite aux femmes et au féminin. Un problème d’androcentrime face à ce qui est porteur de vie, de fertilité. Il rappelle combien il importe de dépasser la vision freudienne, devenue réductrice, pour inclure l'approche de Jung aux réflexions et aux savoirs, tout comme celle de ses adeptes qui théorisent et pratiquent une thérapeutique en phase avec son temps.
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